Akkaria, maison de maître  Wong Qi le 25 août 2042

 Ce matin, Wong,Qi mon vénéré maître a mis sa plus belle tenue de cavalier. Il a passé sa chemise blanche, fermé son petit gilet noir, enfilé le pantalon gris perle qui lui moule parfaitement ses jambes. Puis, en me fixant des yeux de son oeil arrogant de seigneur Akkar, il a chaussé ses hautes bottes que j'avais cirées et fait reluire la veille, ces bottes qui brillaient comme deux pierres de jais et qui se galbaient robustement à ses jambes. Il a mis les éperons à ses bottes et m'a dit  : "Yang, mon raleb poney, je vais te dresser à obéir autant à ma cravache et à mes bottes qu'à ma voix."

. Après cela, il a placé le mors de cuir dans ma gueule de cheval et a ajusté le harnais de tête en acier relié aux rênes. J'étais à quatre pattes sur les mains et les genoux er j'ai senti soudain le pied de sa botte s'appuyer sur le creux de mon dos. "Cambre bien ta croupe, mon cheval" dit-il en me cinglant les fesses de sa forte cravache tressée. Je tournai mes yeux de bête vers mon seigneur cavalier dressé une botte à terre et une autre botte sur mon dos et qui me cravachait à grands gestes. . En fin mon maître souleva sa botte et m'enfourcha. Je sentis les tiges lisses et froides des hautes bottes sur mes cuisses. Le mors me tira la gueule en arrière et la mèche de la cravache tapota mes cuisses. J'avançai alors le dos creusé sous les fesses de mon maître qui relevait les bottes en pliant les jambes. Je marchai à quatre pattes jusqu'à l'entrée de la chambre portant tout le poids de mon maître qui me cinglait toujours la croupe.

Je gémis un moment car mon maître avait vivement appuyé les roues de ses éperons au milieu de mes cuisses. Il recommença aussitôt et je dus aller et venir dans la chambre en portant mon maître cavalier les cuisses piquées par les éperons, les fesses cinglées par la cravache, la gueule retroussée par le mors qui pressait douloureusement la commissure de mes lèvres. Mais je sentais de tout mon corps avec une sorte d'ivresse le plaisir de mon maître botté de jouer avec sa bête, de la conduire comme il voulait, de la faire se cambrer à sa guise...

La seule chose que je regrettais c'est de ne pouvoir contempler  Wong Qi me soumettre comme il le faisait. J'osai le dire à mon maître après la séance de dressage...

-C'est bien, Yang, de vouloir regarder ton maître en train de dresser sa bête. Tu vas être satisfait bientôt car je vais faire entrer un nouveau raleb avec toi dans mon écurie...

Petite promo maison que j'invite les amis à diffuser....