Journal de Fodor
Akkaria, le 4 septembre 2041
Ce matin, maître Lazlo m'a laissé deux heures dans la cage. Puis il m'a fait sortir pour m'entraver les pieds et les mains dans les trous du grand carcan. Cela m'obligeait à rester assis la tête penchée. Tout à coup il mis le pied de la botte sur le côté de la planche. Puis, avec sa main gantée, il a poussé ma nuque. Il m'a fait coller la langue sur le pied de sa botte. Oui, sur le pied de sa belle botte de cavalier. J'ai commencé à lécher mais je ne léchais pas assez fort pour lui. Alors il a pris son knout. Alors il a fait tournoyer son knout et j'ai senti les longues lanières me cingler le dos.
Alors j'ai léché, j'ai bien léché. Et mon maître faisait toujours tournoyer son fouet. Et il me cinglait toujours. Et je le voyais relever la tête avec contentement quand je léchais plus fort, quand j'étais vraiment bien son chien à ses bottes.
Et puis il a bien écarté les bottes. Et puis il a sorti sa belle bite de maître. Et il a enfoncé sa belle bite de maître dans ma gueule de chien. Comme c'était bon de sucer sa belle bite ! Comme je m'appliquais sous le knout qui n'arrêtait pas de tournoyer et de me cingler ! C'était un peu dur parfois mais j'étais tellement content de donner du plaisir à mon beau maître, à mon seigneur, de lui montrer que j'étais bien son chien...
Lazlo vivait à dix lieues d'Akkarpolis, dans la forêt d'Apolka qu'il exploitait avec une cinquantaine d'autres Akkars. Enfin le mieux serait de dire que tous ces maîtres exploitaient un troupeau de ralebs, les forçait à être bûcherons, scieurs de long, menuisiers et à assembler les meubles transportés ensuite au grand marché de la Ville. Entre les tables, chaises et autres coffres, ils fabriquaient des croix, des carcans, des piloris souvent peints en noir...
Les ralebs avaient aussi construit les spacieuses maison du village dans la plus grande clairière. Lazlo et ses deux ralebs vivaient dans l'une d'elles. C'était un homme de trente ans de belle carrure, aimable compagnon, causeur et rieur, serviable, toujours prêt à prêter un raleb pour aider l'ami à finir une tâche, volontiers buveur mais surtout fumeur, aimant savourer un long cigare, assis sur un tronc dans la forêt.
Il aimait la moto (les Akkars en rapportaient toujours de la Lupa avec leur contingent de prisonniers) et surtout le cheval. Il lui arrivait de partir pour des galopades solitaires mais son plus grand plaisir était d'attacher par une longue corde un de ses ralebs (parfois les deux) à sa monture, de partir au petit trot et de le faire courir jusqu'à l'épuisement. Cependant, comme c'était un bon maître et ménagé de ses outils de travail, il ne pouvait se livrer à cette âcre volupté tous les jours. Le plus souvent il se contentait de promener en laisse ses ralebs pendant les poses, de savourer son cigare favori en se faisant lécher ses belles bottes de cavalier ou sucer son cigare de chair, non moins beau...
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