Oui, elle existe cette perle du ciel, cette fille de nos rêves, cette planète dont les paysages semblent nous engloutir l'âme. Elle existe cette terre des seigneurs, cette terre où ils sont partout les maîtres, elle existe, Akkaria, la planète des Akkars !

Moi, je suis un raleb. Sur Akkaria il n'y a que des Akkars et des ralebs. Les Akkars ont tout, les ralebs n'ont rien. Rien. Pas un vêtement. Pas même le collier d'esclave ou de chien qu'ils portent. Leur corps même est à leur maître. Et ils ne doivent qu'à la mansuétude des lois akkariennes de ne l'avoir jamais mutilé.

Les lois d'Akkaria feraient frémir pourtant nombre d'hommes et révulseraient les humanistes. Jamais système institué ne fut plus inique. Jamais l'inégalité des êtres ne fut proclamée plus haut. Et pourtant, moi, raleb, moi revenu sur cette misérable terre par un des couloirs du temps pour témoigner de ce futur, je l'assure avec force : c'est sur Akkaria que j'ai connu le vrai bonheur, c'est sur Akkaria que je veux retourner, une fois ma mission finie, pour le connaître à nouveau.

Je vous parlerai d'Akkaria au fil des jours. Pas encore maintenant car trop de souvenirs me submergent, balançant leurs remous comme les eaux du grand fleuve Ligur. Le Ligur, le maître-fleuve d'Akkaria où les ralebs ont parfois le droit de se baigner sans leur maître. Trop de souvenirs qui tournoient, oui. Il faut que cela se calme en moi. Et je commencerai mes chroniques : les chroniques d'Akkaria. En attendant voici des images, des photos, des vidéos, des récits à peine transposés de ce que j'ai vécu ou vu ou entendu sur Akkaria. Ralebs et Akkars de ce monde-ci, j'espère qu'ils vous plairont.

J'aimerais vous entendre. Vos commentaires seront bienvenus, vos questions me seront précieuses pour me guider dans la rédaction de mes chroniques. Je témoigne d'un monde qui est niché au creux de vos rêves. Aidez-moi à le faire s'épanouir ici.

Je signe du nom que mon maître Akkar m'a donné et qui est devenu le mien propre.

Bonclebs

Voici une traduction en Espagnol obligeamment fournie par David, membre du groupe yahoo : hombres gay en botas (hommes homos en bottes)

Si, existe esta joya del cielo, la hija de nuestros sueños, este planeta cuyo paisaje nos parece envolver el alma. Es la tierra de los señores, la tierra en que los maestros están en todas partes, existe, Akkaria, el planeta de los Akkars  

Yo soy un Raleb. En Akkaria hay solo Akkar y Raleb. El Akkar lo es todo, los Raleb son nada. NADA. No es ni una prenda de vestir. Ni siquiera el  collar de esclavo o un perro. Su  propio cuerpo es de su amo. Y sólo deberían mansedumbre a las leyes akkariennes y ser felices de no haber sido jamas mutilado. 

Las leyes de la Akkaria  estremecen a muchos hombres y repulsion a los humanistas. Nunca un sistema establecido era tan injusto. Nunca los seres desigualdad fue proclamado antes con tanto vigor. Por lo tanto, yo,  Raleb, regresé a esta miserable tierra por uno de los corredores del tiempo para presenciar el futuro, y les aseguro categóricamente: es en Akkaria done he conocido  la verdadera felicidad es en Akkaria donde quiero volver una vez que mi misión termine, a conocerla de nuevo. 

Voy a hablar de la Akkaria alguna vez. Ahora no, porque muchos recuerdos me abruman, balanceando las aguas de una gran tina con las aguas del gran río Ligur. El Ligure, el  río maestro, donde a los Raleb Akkarianos, a veces se les permite nadar sin su amo. Demasiados recuerdos que giran, sí. Esto tiene que calmarme. Y empiezo mis crónicas: las crónicas de Akkaria. Mientras tanto, aquí hay algunas imágenes, fotos, videos, historias acaba de traducir a partir de lo que he vivido o visto o escuchado de Akkaria. Raleb y Akkar en este mundo, espero que les guste. 

Me gustaría saber de usted. Sus comentarios son bienvenidos, sus preguntas serán valiosas para mí que me guíen en la redaccion al escribir mis columnas. Soy testigo de un mundo que se encuentra en la palma de tus sueños. Me ayudan a hacerlo florecer aquí.
  
Yo firmo con mi nombre como mi maestro de Akkar me a dado y que se ha convirtido en el mio propio.