Samedi 29 novembre 6 29 /11 /Nov 04:27

 

     ( Voici la relation véridique d'un ancien week end que j'ai retrouvée dans mes papiers.  "Chien de compagnie" y trouve son origine)

                             Fin de semaine à Rennes (1)



Il est un peu plus de huit heures vendredi soir quand le téléphone sonne. Voix de Fred. Il est avec Fabrice en train de punir Franck à son bureau. Fabrice voudrait me voir, poursuivre avec moi ce week end son apprentissage de maître. On veut que je parte maintenant. J'hésite à peine, pars précipitamment. Pendant la route des images me revienent. Je revois le Transfert, Fabrice qui me promèbe en laisse dans la boîte. Son corps fin, son visage de boxeur se détachent dans la pénombre. Un mélange de dureté et de tendresse se dégaent de ses gestes et de sa voix. Il me subjugue, sait comment me mener, me faire obéir : « allez, caresse les mecs, donne leur du plaisir... » « Souris ! » « Tire la langue ! » « Suce ! ». Il parle et j'obéis. Je suis déjà son chien.



Ces images qui me reviennent comme je roule sur la quatre voies me bouleversent de désir. Mais en même temps des frayeurs me tenaillent. Je sais la cruauté de Fred avec Franck. Je sais qu'il peut être dur avec moi à me faire craquer. J'ai peur que Fabrice, trop influençable, ne devienne aussi cruel que lui. Quelle soirée m'attend ? Jusqu'où veut-on me faire aller ?



J'arrive ainsi, hésitant entre le désir et l'inquiétude. Mais l'envie de plaire à mon maître et de lui donner du plaisir l'emporte sur tout. La porte s'ouvre sur le charmant sourire de Fred. Les chaps et le baudrier noir soulignent sa sveltessse et sa jeunesse dorée. A l'étage enfin je retrouve Fabrice auquel j'ai si souvent pensé deouis huit jours. Lui aussi porte une tenue séyante : jean noir et gilet de cuir. Qu'au lieu de pieds nus il fût chaussé de bottes de cavalier et je tombais immédiatement à ses genoux. Franck allongé sur le clic-clac déplié arbore une toute autre parure : pince aux seins, poids aux couilles, cordelette roulée étroitement autour de la queue reliant tout cela. On sent à son air je ne sais quel épuisement douloureux qui témoigne de ce qu'il a dû subir et me fait froid dans le dos.



Je deviens vite son compagnon de martyre. « Martyre », quel terme mal choisi quand les bourreaux sont si adorables ! Fabrice surtout qui, tout en me faisant subir les traitements imaginés par Fred, a une manière de me caresser, de m'étreindre, de me parler doucement à l'oreille pour s'enquérir si je supporte bien les chose qui me conduit justement à tout supporter, même l'électricité que je n'avais encore jamais subie. Pour me rassurer et me donner du courage, il prendra m^me avec moi le courant. Je revois aussi le moment où Fabrice me demande doucement de reculer pour tendre la corde qui relie mes couiles à celles de Franck. C'est dur. Je souffre mais je suis heureux de faire pour mon maître le petit pas qui marque un peu plus loin le degré de ma soumission.



Tout était bien parti et pourtant je vais craquer. Fred vient d'annocer d'un ton sarcastique qu'il nous a préparé un lit délicieux. Je redoute le pire. Et le pire justement est là sous la forme, posée sur le tapis, d'un quadrillage dorties dont j'ai une sainte horreur. Fred veut que je marche dessus, que je m'asseois, que je m'allonge. Après une première rebuffade, je consens à faire un pas. La brûlure piquante, traitresse, horripilante détruit en moi toute excitation. On trouve que je suis capricieux. On veut que je m'exécute davantage. Je refuse cependant de subir ce qui est pour moi un vrai supplice. Fabrice, je le pressens, ne doit toujours pas bien comprendre. Il lui paraît peut-être qu'avant ou après, le lendemain, j'aurai subi des épreuves plus dures. C'est peut-être vrai, seulement ces épreuves-là ne me feront pas sortir du trip comme celle d'alors. Ou comme celle, immédiatement après, de boire de la pisse dans une tasse à thé. Elles ne me feront pas apparaître comme ici un sadisme pur qui ressemble tout à fait à de la méchanceté vraie et pas du tout à de l'amour. Pour la pisse , je sais que j'en ai bu quelquefois et que je pourrais encore le faire, mais dans un autre contexte. Par exemple, quand je fais le chien, si on m'obligeait à coups de fouet à laper de la pisse dans une gamelle, je crois que je le ferais sans craquer. Pour les orties d'ailleurs, Fabrice, le lendemain dans la salle de bain, a pu me faire subir ce que vendredi je n'ai pas pu supporter. Je crois qu'il a vraiment avec moi la manière qu'il faut. Il ne me fait pas craquer, il me fait fondre !



La parenthèse pisse-ortie terminée, la soirée se poursuit pour moi délicieusement. Fred a trouvé que Droopy était trop gentil comme nom de chien. Il propose de m'appeler Cabot. Je pense que cette idée-là est bonne. Et mon nouveau nom me fait un réel effet, m'incite beaucoup plus à la soumission. Maître Fred et Maître Brice -c'est ainsi que je dois appeler mes maîtres- veulent promener leur nouveau chien. Franck met sa casquette de chauffeur pour conduire sa mercédès en valet stylé. Moi je suis couché en boule sur la banquette arrière, encagoulé. Sous le slip en cuir, j'ai toujours le cockring avec la chaîne. J'en ai une autre au cou reliée au collier à chien. Quand Fabrice me sortira et me conduira en laisse sur le bord d'un parking de drague, je serai vraiment excité comme une bête. En même temps, j'aurai vraiment le sentiment d'appartenir à un maître qui peut m'exhiber comme il veut, m'humilier comme il veut, me faire servir au plaisir de qui il veut. Après qu'il m'a demandé de le sucer à quatre pattes, il appelle les dragueurs qui nous matent à venir profiter de ma gueule offerte. Je n'ai rien à craindre car Fabrice demande aux clients de mettre une capote. Quand je suce une bite étrangère, je pense que mon maître se réjouit du spectacle que je lui offre et cela m'emplit de plaisir. Toujours en suçant j'imagine que mon maître me fait faire le chien devant tous, courir, rapporter le bâton, lui lécher les bottes, ramper, faire le beau. Je frémis d'aise quand il me passe la main dans les cheveux en me disant que je suis un bon chien.



La soirée, ou plutôt la nuit s'achève dans l'appartement de Fred. Là mes deux maîtres font l'amour ensemble en me faisant participer à leur plaisir. Je lèche, je suce, je suis enculé longuement par Fabrice, je suce à nouveau, lèche, caresse ou simplement regarde mes deux maîtres qui s'étreignent. Les ébats durent. Je n'ai aucun sentiment de frustration. Je suis heureux de leur plaisir. A cette heure de la nuit tout a un peu l'irréalité d'un rêve. D'un rêve où je suis le chien de deux maîtres qui s'aiment.



(à suivre)

















Par bonclebs - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Profil

  • bonclebs
  • Le blog de Akkaria, , planète des hommes SM
  • sm bottes dogtraining humiliation larvage léchage
  • 173 cm 76 kg 58 ans. Je pense qu'en parcourant mon blog on voit suffisamment ce que bonclebs aime et recherche. ce que je n'aime pas apparaît peut-être ausssi ...dans l'absence. Je n'aime pas les rapports non protégés, le scat, le fist, le pierci

Présentation

  • : Le blog de Akkaria, , planète des hommes SM
  • Le blog de Akkaria, , planète des hommes SM
  • : gay Gay
  • : Akkaria, une planète peuplée d'hommes soumis ou dominateurs, des maîtres et des esclaves.beaucoup de vidéos de dogtraining, de maîtres humiliant leurs esclaves, des photos, des journaux intimes d'esclaves
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Recherche

le blog de mon maitre

blog de masteradogg

mes visiteurs

gay

Tchat ZoneBeur.com

Découvre ZoneBeur.com le nouveau tchat gay gratuit pour rencontrer des blanc, Blancs, Beur  et c'est gratuit !!

 

http://gueuleajus.com/images/baniere160par600.gif

Texte Libre

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés