Dimanche 4 septembre 7 04 /09 /Sep 15:19

la tarte aux abricots 2


Il appuya plus fort sur ma nuque. Sa bite s’enfonçait dans ma gorge, commençait à m’étouffer un peu. Je le regardai: ses yeux semblaient avoir un autre éclat et la moue de son sourire devenait grondeuse. J’eus un mouvement pour dégager ma bouche mais, comme s’il l’avait senti, il pressa sur ma nuque, m’enfonça sa pine raide plus profond dans ma gorge. Je hoquetai, eus un gémissement. Alors il poussa à fond sa bite dans ma gorge en grondant. Un haut-le-cœur terrible me souleva. Au moment où Fred retirait enfin sa verge, je vomis sur l’herbe tout ce que je venais de manger. Fred me frotta la joue, me la massa d’une main large. Il avait un sourire gras, une voix d’une suavité jouisseuse.

— Il est pas gentil, mon petit canard. Je lui ai donné un bon gâteau et il le recrache.

J’avais encore le goût de vomi dans la bouche. La voix de Fred me nouait le ventre. Je commençais à comprendre.

— Il va être mignon, mon petit canard. Il va faire plaisir au gentil Fred. Il va tout remanger le gâteau qu’il a craché, hein?

Je secouai la tête, le regard suppliant, mais une excitation terrible me cuisait le ventre. Fred, toujours accroupi, détachait son fouet, dressait les boucles énormes sous mon nez, les ployait et les déployait avec un sourire atrocement jouisseur.

— Il veut des caresses mon canard pour manger tout son gâteau. Hein? Il veut des caresses!

En parlant, Fred semait des baisers sonores sur la grosse lanière de cuir luisante au tressage fin, lisse. Il lisait en jouissant dans mes yeux l’effroi mêlé de désir. Il se releva, se dandina sur ses bottes avec un sourire de tyran jouisseur qui me faisait craquer le ventre. En faisant un mouvement souverain du bras, il fit voler et se tordre la lanière, accompagna de sa moue adorable le claquement du grand fouet. Je regardai le dégueulis sur l’herbe et mes yeux remontèrent des bottes au visage de Fred qui me couvait tendrement du regard.

— Il va bouffer tout son dégueulis, mon petit porc. Il va pas en laisser une miette!

Fred reculait en parlant, se mettait un peu sur mon côté, cherchait l’élan du grand muscle de cuir, l’angle pour me cingler le dos en le rabattant. Ses lèvres se froncèrent. Je vis la torsion du buste, le mouvement du bras, l’envol de l’énorme fouet. Je gémis sous l’étreinte cuisante. Mais à voir la mine ravie du jeune dieu botté qui m’avait à la merci de son grand fouet, je bandais comme un porc.

— Mmmmm! c’est bon ça, ma petite lope! Tu aimes te faire caresser, tu vas être servie!

Fred se passait la langue sur les lèvres, s’appuyait sur sa botte arrière pour se renverser presque, montait le bras très haut en tordant le poignet. Je hurlai sous la morsure du cuir. Le jeune dieu à face poupine avait un grand sourire. Déjà la lanière s’envolait en ondoyant.

— Pitié, Monsieur Fred!

— Il faut dire: «pitié, seigneur Fred», chien de raleb!

Je hurlai à nouveau sous le fouet. J’articulai en gémissant:

— Pitié, seigneur Fred!

Fred laissa retomber le bras qu’il armait encore. Il souleva la lanière à deux mains devant lui, bottes écartées. Il eut une voix douce et jouisseuse:

— Alors, elle va manger son dégueulis, la petite cochonne!

Je baissai la tête vers l’herbe couverte de mon vomis. J’attrapai avec la bouche un morceau jaunâtre, gluant, nauséabond. Le fouet claqua au ras de ma tête, menaçant et terrible.

— Mâche ton dégueulis en me regardant, sa-looope!

La voix traînait sur salope. Je regardai en mâchant mon dompteur au crâne ras dont le sourire s’ébahissait sous le pétillement tendre des yeux.

— Il est bon mon gâteau, hein! mon petit canard! Dis qu’il est bon.

Fred fit tournoyer et claquer le fouet en l’air avec un contentement de gamin. Je criai: «il est bon, votre gâteau, seigneur Fred!» J’en pouvais plus de bander. Fred sembla apercevoir quelqu’un:

— Eh Bruno, viens voir le spectacle. Je fais bouffer son dégueulis à cette salope!

Je vis Bruno approcher. C’était le gardien-chef. Il était en cuissardes, son gros fouet autour du cou. Il me dévisageait avec intérêt en souriant à demi dans son bouc châtain clair.

— Putain, Freddy, t’as l’air de bien t’la dresser, cette lope...

 

Par akkariaplanetehomosm - Publié dans : dressage
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