Samedi 10 septembre 6 10 /09 /Sep 17:45

la tarte aux abricots 3

 

Je vis Bruno approcher. C’était le gardien chef. Il était en cuissardes, son gros fouet autour du cou. Il me dévisageait avec intérêt en souriant à demi dans son bouc châtain clair.

— Putain, Freddy, t’as l’air de bien t’la dresser, cette lope

— Ouais, c’est bien une chienne de lope. J’lui avais donné mon dessert avec une ptite sucette en plus. Elle m’a remercié en dégobillant, la larve!

— Ah! la salope de truie! mais il lui en reste encore plein à rebouffer!

— T’inquiète pas, Bruno. J’vais lui faire bouffer son dégueulis jusqu’à la dernière miette. Hein, qu’tu vas tout bouffer, salope!

Le jeune skin botté faisait se tordre en l’air la lanière grasse du fouet, souriait dans sa figure poupine, me cinglait le dos dans un claquement de cuir.

— Allez, bouffe ton dégueulis à pleine gueule, larve de porc!

J’ouvris la bouche, l’enfonçai dans l’herbe couverte de vomi. Quand je relevai la tête, la bouche pleine, Bruno, dressé au-dessus de moi, cuissardes écartées, gondolait des lèvres jouisseuses. Il se débraguetta aussitôt.

— Allez, mâche, cochonne!

À droite, Fred se passait la langue sur les lèvres, prenait de l’élan, rabattait l’énorme lanière. Je mâchais mon dégueulis et mon oeil suppliant allait d’un dresseur à l’autre mais je bandais à fond. Bruno avait saisi le manche de son fouet et, de son autre main, dirigeait sa bite vers ma tête.

— Ça donne soif le dégueulis, hein! Rouvre ta gueule, cochonne!

Bruno m’envoyait un jet de pisse sur les lèvres que je venais de refermer. Il fit claquer son gros fouet sur mes épaules.

— Tu vas ouvrir ta gueule!

— Attends, Bruno. J’vais lui faire ouvrir sa gueule à cette lope de merde!

Le fouet de Fred s’enroula autour de mon buste. J’entrevis ses yeux qui brillaient. J’avais ouvert la bouche et le jet de pisse me rentrait jusqu’au fond de la gorge, ressortait, dégoulinait sur les cuissardes. Bruno me cinglait toujours les épaules.

— Tu vas avaler, cochonne!

La lanière du grand fouet s’était retirée mais Fred la projetait vers moi à nouveau en jubilant.

— Allez, salope! avale!

Le fouet me déchira le dos et je gémis en avalant une gorgée de pisse.

— Ouais, c’est bien, cochonne!

Bruno retira sa queue et continua à pisser sur l’herbe, là où était le vomi. Il sourit à Fred.

— On te gâte, cochonne! Tu vas pouvoir bouffer ton dégueulis arrosé de pisse!

Je regardai Bruno en secouant timidement la tête.

Le gardien chef pâlit presque, bouche bée, tordant les grosses boucles de son fouet, se carrant sur ses cuissardes.

— Sa-lope! Sa-lope! Tu refuses de bouffer ton dégueulis arrosé de ma pisse, de la pisse de ton MAÎTRE! Sa-lope! Oh la branlée qu’tu vas prendre! Allez, Fred! fais-toi plaisir!

Un peu en retrait à ma gauche, je vis Fred, la mine ravie, faire envoler la lanière de son fouet de toute sa hauteur. Elle me cingla les reins à me faire hurler tandis que Bruno, cuissardes écartées devant ma tête, tordait en l’air la lanière de son gros fouet, la rabattait d’un tour de bras sur mes épaules. J’implorai en hurlant:

— Pitié, maîtres! Pitié, seigneur Bruno! Pitié, seigneur Fred!

Fred qui venait de me cingler encore regarda Bruno qui restait le bras levé, le fouet en arceau, prêt à claquer encore. Il jouait de la langue contre la lèvre en souriant atrocement dans son bouc.

— Laisse Fred.

Bruno se passa la langue sur un coin de sa bouche.

— Tu vas bouffer ton dégueulis à nos bottes, cochonne! Tu vas bouffer l’herbe et la pisse avec!

Fred se rapprocha de Bruno, son grand fouet lové. J’avais la queue raide en regardant mes maîtres bottés. Je mordis l’herbe et le vomi à pleine bouche. Je mâchai en regardant le sourire de mes maîtres avec un air de bête servile. Je voyais leurs yeux luire. La voix de Bruno s’excita encore:

— Allez, tords ton cul de cochonne!

Je tordis mon cul en me déhanchant à fond et en reprenant une bouchée d’herbe. Je geignais de plaisir.

— Glousse!

Je gloussai comme une truie. Mes maîtres avaient sorti leur queue raide et se branlaient.

— Ah, Bruno! la gueule qu’elle fait cette salope de truie! MMMMM! J’ai envie de la voir me lécher les bottes!

— Ouais! Cochonne, lèche les bottes à mon pote!

Je regardai les grandes bottes noires et galbées de Fred et ma queue se releva encore. J’approchai ma bouche, pointai la langue vers une empeigne, levai la tête vers le beau skin qui me couvait des yeux, donnai juste un coup de langue sur le cuir en souriant de toute ma bouche. Fred eut un sourire aussi, mais grondeur.

— C’est comme ça que tu me lèches les bottes, ma ptite crevure!

— Freddy, il se fout de toi, ce raleb! Tu l’as pas assez maté encore.

— Mmmmmm! il ne va pas se foutre de moi longtemps, le trésor! Nooon, Bruno! tu peux m’croire!


Par bonclebs - Publié dans : dressage
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