Mardi 25 octobre
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Souvent je pense à la teub de mon Maître. Sa belle teub charnue, enflée à la base, ferme et tendre à la fois,
qui s'enfonce délicieusement dans mon cul ou dans ma gueule de chienne soumise. Je me souviens - il y a pas si longtemps - j'avais sucé goulûment Bruno pendant cinq bonnes minutes. J'avais bien
bavé comme il aime. Ça faisait glou-glou quand il faisait des va-et-vient. Je pressais bien la langue, les lèvres, le palais contre la bonne teub qui m'emplissait la gueule. Mon Maître me tenait
les oreilles et manoeuvrait ma tête de chienne comme il le voulait pour se satisfaire.
— Allez! Prends bien ma teub, karpette! Prends-la bien!
Oh oui! Je la prenais bien la teub de mon Maître! Et il me pilonnait la gueule. Et il enfonçait sa teub toujours
plus. Et je sentais le gland fouailler ma gorge. Et la bave me montait avec des hauts de coeur. Mais je voulais toujours sucer plus, sucer mieux, bien montrer à mon Maître que je savourais sa
belle teub, que j'étais une bonne chienne contente de me faire défoncer la gueule par la belle teub de son Maître. Et je sentais une envie de dégueuler du fond de ma gorge jusqu'au creux de mon
ventre. Et c'était une envie que j'aimais parce qu'elle me faisait sentir combien j'étais la chienne de Bruno, de mon Maître.
Et tout d'un coup, ça y est. J'eus un spasme de toute la gorge. Je me dégageai juste à temps pour dégueuler par
terre. Un peu de vomi avait quand même éclaboussé mon Maître.
— Salope! T'as dégueulé sur mon jean! Nettoie avec ta langue, salope!
Je pressai ma langue sur l'entre-cuisses de mon Maître. J'avalai les éclaboussures de vomi et je léchai. Mon
Maître se branlait. Il me prit soudain par les cheveux et poussa ma tête vers le sol.
— Karpette! Tu vas lécher ton dégueulis par terre! Tu vas bien lécher!
J'osai faire non de la tête et je murmurai:
— Non! Pas ça...
Mon Maître parut ahuri.
— Qu'est-ce que tu dis, karpette? Tu refuses de lécher ton dégueulis aux bottes de ton Maître? Oh! putain! la
branlée que tu vas te prendre!
Mon Maître se tenait les jambes écartées. La tige de ses hautes bottes noires lui montait presque aux genoux.
Autour du cou, il avait un gros fouet tressé. Il saisit le manche, se recula un peu.
— Allez! Tête au sol, karpette!
Je posai la tête près de la flaque de dégueulis. Le fouet claqua, claqua encore: mon Maître me cinglait à toute
volée.
— Allez! Lèche ton dégueulis par terre, chienne!
Je commençai à lécher sur le carreau la flaque de vomi. Le grand fouet de Bruno sifflait, claquait, me cinglait
le dos, les fesses...
— Tortille du cul en léchant, chienne!
Bruno faisait claquer le fouet en parlant avec une voix jouisseuse. Je cambrai le cul au maximum, le lançai à
gauche puis en arrière, le ramenai en cercle en tordant le bassin. Bruno me cinglait toujours à grands coups de fouet. Je le sentais excité et je bandais à fond, joyeux d'être si bien sa chienne.
Je tortillais du cul encore plus fort.
— Ouais! C'est ça! Tu tords bien le cul, chienne! Mais colle bien ta gueule par terre et lèche!
Je léchais le vomi à pleine langue, je tordais le cul à grands coups de rein. J'essayais quand même de voir mon
Maître aux grandes bottes qui faisait claquer le fouet au dessus de moi tel un dompteur superbe. Je fus comme ébloui en voyant la teub de Bruno qui pointait, bien droite, et qui semblait dire le
plaisir de mon Master à me faire lécher mon dégueulis à ses bottes, à me faire gigoter du cul aussi bien qu'une chienne soumise. Mon excitation se redoublait. J'osai réclamer:
— S'il vous plaît, Maître, la teub! La teub, Maître! Laissez-moi sucer votre belle teub!
Mon Maître replia son fouet, bandant toujours. Il dit d'une voix goguenarde:
— Ouais, karpette. Tu vas avoir droit à la teub. Va chercher une gamelle de flotte d'abord et rince toi la
gueule.
Je filai chercher la gamelle d'eau, me rinçai.
— Allez, fais la belle, karpette! Pattes de devant pliées! Allez!
À genoux, je pliai les pattes avant et les secouai comme une chienne qui réclame.
— Gueule bien ouverte! Ouais! Tire la langue! Tire la à fond!
Je faisais tout ce que disait mon Maître et je forçai sur ma langue pour qu'elle touche la base de mon menton.
Mon Maître enfin engouffra sa teub dans ma gueule. Je la refermai, je collai mes lèvres sur le gros tuyau de chair. Je sucai avec volupté et force, en penchant la tête à gauche, à droite, en la
montant, en la descendant, en bougeant du cul au même rythme. En bavant bien aussi. Et la bave me coulait de la gueule.
Mon Maître retira sa teub bien droite, commença à se branler d'une main, à faire claquer le fouet de l'autre. Il
parla d'une voix sourde et jouisseuse.
— Ouais! Recommence à nettoyer le sol avec ta langue à mes bottes, chienne!
Je léchai. Je léchai ma bave et mon dégueulis, la croupe relevée, tordue et retordue devant mon Maître qui
appréciait et qui faisait claquer le fouet en l'air avec une morgue souveraine.
— À la botte maintenant, salope! Lèche! remonte la tige! Appuie bien! Je veux sentir ta langue!
J'appuyais de toute la largeur de ma langue sur la longue et forte tige de cuir noir, je sentais le gonflement
du mollet derrière.
— Allez! chuinte, salope! J'veux t'entendre lécher ma botte!
Je bavais, je chuintais, je soufflais de plaisir, me sentant de tout mon être une bonne chienne aux bottes de
mon Maître.
— Ouais! Continue comme ça! C'est bon!
Le plaisir de mon Maître décuplait le mien. Je me mis à tordre le cul plus fort. Je sentis la main de mon Maître
qui m'attrapait la nuque, dirigeait ma gueule vers la teub tendue. Elle était plus gonflée, plus longue, plus savoureuse que jamais. Elle plongeait au fond de ma gorge. Je râlais, hoquetais en
ondulant de tout le corps pour accompagner ma suce de chienne. Et je sentais la teub de mon Maître s'enfoncer encore. Enfin il la retira, commanda:
— Gueule à terre, chienne! Ouvre ton cul!
J'appuyai ma gueule sur le carreau, remontai le cul, ouvrit mon trou, réclamai:
— Oh! votre teub, Maître! Votre belle teub, Maître! Enculez moi, Maître! Je suis votre chienne!
— Ta gueule! lèche le dégueulis! lèche bien! j'veux t'entendre le lécher!
Je léchai le sol bruyamment. Et je sentis la teub de mon Maître qui pointait, qui entrait, qui s'enfonçait, qui
s'engouffrait dans mon cul de chienne gonflé de plaisir...
La teub de Bruno, j'en avais plein mon cul! Et j'y pensais tant que j'en avais aussi plein la tête!
Par bonclebs
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Publié dans : dogtraining dresse-clébard
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