Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 05:35

Le palais des Akkars trône à Akkarpolis. On y trouve cependant aussi un lieu appelé le Palais du raleb. Mais dans cet endroit autant que partout ailleurs sur Akkaria ce sont les Akkars qui sont les rois. Le Palais du raleb est en réalité une boutique où les seigneurs de la belle planète trouvent tout ce qui peut assurer leur domination sur les ralebs, aider au dressage, pourvoir à la nourriture et aux soins particuliers. La boutique comporte un très large rayon pour chiens et les maîtres y amènent volontiers leur clébard. Ils savent qu'en plus de complèter l'équipement, ils auront l'occasion de montrer à beaucoup d'autres Akkars leur maîtrise de l'animal . Et puis ça sera l'occasion d'en faire profiter leurs amis...

 

Par bonclebs - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
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Mardi 1 novembre 2 01 /11 /Nov 10:41

— Tu vois la chaise là-bas, Karpette? Tu vas l'approcher. Tu vas plier ta patte droite dessus. Puis tu vas pisser comme un clebs dans la gamelle! Ouais! Tu vas pisser comme un clebs!

Je m'exécutai sans pouvoir m'empêcher de ressentir une honte sourde. Quand je me mis en position la patte levée, pour pisser comme un chien pisse contre un mur, je me sentis presque rougir. Puis le jet de pisse partit dans la gamelle avec bruit. J'hésitai à regarder mon maître. Je finis par surprendre son regard. Il était rivé à ma queue, vicieux et jouisseur, et un sourire atrocement moqueur s'épanouissait sur les lèvres de mon maître. Je pissais toujours. Je pissais comme un chien aux bottes du maître et sous son regard. Je me sentais bander en pissant. J'aurais voulu ne plus m'arrêter de pisser. Mon maître appuya le pied de sa botte sur ma gueule.

— Lèche la botte de ton maître en pissant, chienne!

L'excitation que Bruno sentait chez moi avivait la sienne. Quand j'eus fini de pisser, je dus le sucer à fond. Puis soudain, il m'empoigna les cheveux, me poussa la tête sur la gamelle de pisse, sussura doucement:

— Chienne, avant de venir, je me suis arrêté sur l'aire de Bézieux. Je me suis fait sucer par un bâtard. J'avais les pieds dans la boue. Il reste de la boue sous la semelle de mes bottes. Tu vas t'emplir la gueule de pisse et tu vas me nettoyer la semelle de mes bottes avec ta langue et ta pisse.

Bruno me tenait la tête au-dessus de la gamelle. Mon urine était jaune, elle sentait fort. Ma gueule, poussée par la main gantée du maître, arrivait sur elle. Elle était tiède, salée, avec un relent de mauvaise soupe. Je voulus résister. Je secouai la tête en murmurant «non». Bruno maugréa: «Salope!» Il ramena ma gueule vers lui. «Mains sur la tête!» ordonna-t-il durement. À peine avais-je posé mes mains sur la nuque que la première baffe partit, me claqua toute la largeur de la joue. Puis une autre à gauche. Ma tête battait sous les baffes. Je gémis, j'implorai:

— Pitié!

— Obéis alors, salope! À la pisse!

Je plongeai la gueule dans la gamelle, l'emplis de pisse, l'approchai de la semelle de la botte que mon maître tendait vers moi. Je sentis la terre sableuse se mêler à la pisse sur le cuir dur et strié. La pisse me coulait sur le menton quand je tirais la langue pour lécher. Trois fois, je dus retourner à la gamelle. Et la semelle me semblait terreuse encore... Bruno dégraffa les clous de son slip, posa le pied de sa botte sous mon menton, souleva ma tête.

— T'aboies quand j'ouvre mon slip, chienne! J'ai dit!

Je jetai des glapissement brefs. Mon maître qui sortait sa teub dressée acquiesça avec un gonflement de sourire.

— Allez, cours te rincer la gueule et viens à la suce.

Je sortis. La voix de mon maître me parvint du salon.

— Tu m'apporteras une autre bière...

Il prit la bouteille au moment où j'enfournais sa teub.

— Salive davantage! Active la langue!

Il dirigeait ma suce en buvant et en matant une vidéo. Un moment, il regarda par terre.

— Putain!, c'est trempé de pisse! Karpette, tu vas ôter ton marcel et tu vas serpiller le sol avec!

J'ôtai mon marcel et commençai à le pousser sur le carreau mais Bruno planta son talon sur ma main.

— Serpille avec ton marcel dans la gueule.

Je poussai mon marcel dans la flaque de pisse, me vautrant, queue raide, sur le carreau. Mon maître s'amusait à me frotter le dos du pied et de la tige de sa botte, à m'écraser la nuque, à pousser ma joue de sa semelle. Puis soudain je ne sentis plus du tout le contact de ses bottes. J'allais le regarder quand une giclée chaude se pressa sur mon dos, sur ma nuque. Le maître pissait à grand jet sur sa chienne qui serpillait la pisse avec le marcel dans la gueule. Et je me vaudrais sur la flaque, sous le jet de pisse, en mordant le tissu pisseux.

— C'est bon, Karpette! Maintenant tu vas essorer ton marcel au dessus de ta gueule et je veux voir toute la pisse tomber dedans.

Mon maître parlait d'une voix râpeuse, savourant les mots. Mais mon excitation était retombée un peu, je sentais un peu de fatigue, un vague dégoût, comme si ça allait trop loin, que je ne voulais pas être sa larve jusque là. Je murmurai:

— Non, pitié, maître! Pas ça!

— Putain! J'vais t'apprendre à m'obéir! Putain! Redresse-toi! Mains sur la nuque!

Je m'exécutai. J'étais à genoux, les mains sur la tête. Mon maître qui s'était rassis sur le bord du fauteuil me faisait face. La pièce, seulement éclairée d'une petite lampe, était pénombreuse mais, sous la visière de sa casquette, je voyais les yeux luisants de mon dresseur. Il avait son fouet à la main. Pas celui du grenier. Un plus court mais à plus grosse lanière. Il me cingla le torse de part en part en me toisant. Une fois. Deux fois. Trois fois. Quatre fois. Les coups ne me faisaient pas trop mal mais le muscle de cuir que maniait mon maître semblait m'asservir jusqu'au fond de mes entrailles, comme le regard qui me dominait. J'étais sa larve. J'étais la larve de Bruno. Quand les coups s'arrêtèrent, je pris le marcel à deux mains, je le tordis en l'air, la tête renversée. Une pluie de pisse me tomba dans la gueule en cataracte. Et, derrière, je voyais, trouble et phosphorescent, le regard de mon maître qui me toisait. Je bandais. Je bandais à fond. Je bandais quand mon maître dit: «Ouaouaah! C'est trop bon! Recommence!» Et la pluie froide qui sentait la pisse et l'eau sale ne cessait pas de me gicler sur la gueule à chaque torsion de serpillère et de tomber au fond de ma gorge. Bruno s'était levé en se branlant.

— Branle-toi, chien! Montre ton cul. Ouais, écarte! Fous-toi le marcel dedans! À donf! À donf!

J'écartais les cuisses. Je poussais le marcel des doigts tendus comme si j'allais me fister avec. Je tordais ma croupe en râlant de plaisir. Un râle répondit au mien. Une pluie, chaude cette fois, tomba sur mon dos.

— Youyuuyou! Salope, tu m'as vidé! La saillie, ça sera pour la prochaine fois.

 

Par bonclebs - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
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Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 09:00

 

 

Par bonclebs - Publié dans : subjuguants Akkars
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Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 07:24

 

 

Par bonclebs - Publié dans : dressage
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Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 07:11

J'appuyai ma langue sur le pied de la botte en bavant et chuintant. Bruno fit claquer le fouet encore.

— Tortille la croupe, salope!

Je tortillai la croupe, enfonçai ma langue sur le cuir de la botte. La lanière cinglante revint sur mes côtes.

— Je veux t'entendre, chienne!

Je chuintais en léchant la botte, en continuant à tortiller du cul, affalé sur le plancher, rampant comme une larve, secoué par l'excitation.

— Allez, fais la belle, la chienne. Fais la belle!

Je me redressai, les pattes avant pliées.

— Aboie!

Je fis un aboiement timide. Bruno me poussa du pied de sa botte. Je m'affalai à nouveau. Mon dresseur avait les jambes écartées. Il fit une torsion du buste pour faire un vaste claquement de fouet.

— Tu vas aboyer, ma chienne! Tu vas tourner autour de ton maître en tortillant du cul et en aboyant comme une chienne en chaleur!

J'aboyais, transporté de sentir l'excitation de mon maître, transporté aussi de sentir que j'étais sa vraie chienne. Le fouet claquait toujours. Enfin Bruno dit:

— Viens me sucer, salope!

Je n'avais pas encore sucé mon maître depuis qu'il était arrivé. C'est là que je m'aperçus qu'il avait un superbe slip à clous qu'il était en train d'ouvrir pour dégager sa teub.

— Karpette, à chaque fois que j'ouvre mon slip, je veux que tu aboies de plaisir.

Aussitôt, je me mis à japper, des petits jappements aigus de chien joyeux. Mon maître gonfla le menton, sourit, me présenta sa queue droite. Je l'engloutis goulûment.

— Doucement, Karpette! Doucement, ma chienne!

Je fis des va-et-vient langoureux,les lèvres bien collées à la verge charnue.

— Ta langue, Karpette! Je veux sentir ta langue!

Je donnai des petits coups de langue en suçant, tordant la tête, glissant ma gueule autour de la teub avec un mouvement en spirale. Mon maître bandait à fond.

— Fond de gorge, chien!

J'enfonçais la gueule. Mais ce n'était pas assez pour mon maître qui me saisit les oreilles et me tira la tête vers lui en poussant son gland jusqu'à mon gosier. Je hocquetai.

— Ouais! C'est bon, chienne!... Allez, on va redescendre. Reste à quatre pattes.

Dans le salon, Bruno ordonna:

— Va me chercher une autre bière. Prends la gamelle et remplis-la de flotte.

J'obéis. Mon maître s'assit dans le fauteuil, m'ordonna de poser la gamelle devant ses bottes, commença à boire sa bière.

— Lape comme une chienne, Karpette.

Je commençai à laper la flotte de la gamelle. Bruno me regardait avec satisfaction. Il posa sa botte sur mon dos comme sur un repose-pied.

— Lape davantage, Karpette!

Je lapai un peu plus fort, mais sans forcer. Bruno appuya son autre botte sur ma tête, enfonça ma gueule dans la gamelle. Je dus boire à plein. Bruno me força à vider tout. L'envie de pisser m'avait pris et, au moment où j'eus fini de laper, je ne tins plus, je suppliai mon maître:

— Je peux pisser, Maître?

Bruno me regarda en penchant la tête sur le côté. Je vis au sourire de ses yeux qu'une idée germait.

 

Par bonclebs - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
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  • 173 cm 76 kg 58 ans. Je pense qu'en parcourant mon blog on voit suffisamment ce que bonclebs aime et recherche. ce que je n'aime pas apparaît peut-être ausssi ...dans l'absence. Je n'aime pas les rapports non protégés, le scat, le fist, le pierci

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  • : Akkaria, une planète peuplée d'hommes soumis ou dominateurs, des maîtres et des esclaves.beaucoup de vidéos de dogtraining, de maîtres humiliant leurs esclaves, des photos, des journaux intimes d'esclaves
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