Mercredi 26 octobre 3 26 /10 /Oct 08:34

 

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Par bonclebs - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
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Mercredi 26 octobre 3 26 /10 /Oct 06:54

 

 

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Mercredi 26 octobre 3 26 /10 /Oct 06:43

 

Après le plan de la teub, il y en avait eu un autre, huit jours après, qui ne s'était pas très bien passé. J'avais oublié d'acheter des cigarettes et il manquait de la bière pour mon maître qui ne m'avait trouvé ni assez chaud, ni assez docile. Il m'avait dit en partant: "Je crois que t'as besoin d'une sérieuse reprise en main." Puis il avait été longtemps sans me donner de nouvelles.

Un samedi matin, j'avais enfin trouvé sur l'ordi un message de Bruno: "Je serai là à 18 heures. Prépare tout pour ton maître, chien." J'avais eu le ventre crevé par l'attente en me préparant. Il faisait un temps pluvieux. Je craignais, comme cela arrivait parfois, que la pluie lui otât l'envie de venir. 18 heures était passé et il n'était toujours pas là. J'attendais dans l'entrée en string et harnais, un collier à chien autour du cou. Enfin j'entendis un bruit de lourd moteur.

Quand mon maître ouvrit la porte, j'eus le souffle coupé un instant. Il portait sur son jean des bottes que je ne lui avais pas vues encore: d'un noir de jais, hautes, brillantes avec une boucle sur le pied et sur le haut de la tige, de vraies bottes de maître comme je lui voyais dans mes rêves. Il avait son blouson de cuir et portait des gants de cuir noir qui paraissaient neufs comme les bottes. Sa casquette lui donnait un air plus crâne que jamais. Il tenait un sac de toile noire dont il sortit un paquet caoutchouteux qu'il me lança:

— Enfile ça, chien.

C'étaient des chaps en latex noir. Je les enfilai devant lui avec la pensée que j'allais être une chienne attirante pour ce si beau maître et j'en avais du plaisir. Bruno était passé dans le salon, s'était assis dans le fauteuil, avait écarté ses jambes et allongeait ses superbes bottes qu'il tapotait de sa cravache. Il avait dans son menton barbu cette petite moue qui s'imprimait dans mon ventre et me soumettait à lui complètement. Je bandais comme un porc.

— Tourne-toi, que je voie ton cul.

Il parlait plus doucement que d'habitude et moins fort. Mais sa voix était encore plus subjuguante.

— Les chaps te vont pas mal.

Le compliment me remplit d'aise.

— Mets-toi à genoux et montre ton trou.

Je m'exécutai, j'écartai les fesses avec les mains, ouvris bien mon cul en me trémoussant un peu. Je sentis la mèche de la cravache qui me taquinait le fion. Je pouvais voir dans la glace, en face de moi, le visage content de mon maître au bouc.

— C'est bien, le chien. Tourne-toi maintenant. Sniffe ma braguette.

Je sniffais comme un bon chien.

— Réclame la teub.

— La teub, Maître. La teub, Maître!

Mon maître se rengorgea, sortit de sa braguette sa teub qui se gonflait, raidissante. Je l'enfournai sur toute la longueur presque, avec des pivotements de tête. Je bavais. Je suçai goulûment.

— Caresse mes bottes.

Je sentis de toute la largeur de mes mains le cuir merveilleusement lisse des fortes bottes de mon maître. Je les palpais, je les étreignais en pompant de toute ma gueule la grosse queue.

— Ouais, c'est bien le chien. Va me chercher une bière.

Je me relevai aussitôt, me dirigeai vers la porte, gagnai le couloir de l'entrée.

— Reviens, Carpette.

Mon maître s'était levé. Il avait sorti du sac le fouet dont il se servait depuis quelques temps déjà. C'était un fouet assez court mais à grosse lanière tressée. Il écarta les bottes.

— Approche.

Je m'approchai. Mon maître me caressa le menton avec la lanière lovée. Il parla doucement:

— Carpette, quand tu passes un seuil, tu dois t'accroupir et me présenter le cul. J'aime bien voir que tu es un cul à ma dispo tout le temps. Un bon cul de chien à son maître. Lèche le pied de ma botte, Carpette.

Je me jetai presque par terre tant je me sentais la chienne du seigneur Bruno. Je relevai mon cul que je cambrais. J'approchai la langue pendue du pied de la haute botte. J'étais comme ému de lécher pour la première fois la botte neuve de mon maître qui se dressait obliquement, noire, éclatante et robuste avec ses deux boucles d'acier. Je glissai juste la langue sur le pied. Le fouet claqua.

— Je veux sentir ta langue, Carpette. Je veux sentir ta langue sur mon pied à travers ma botte.

Je léchais plus fort mais le fouet ne s'arrêtait pas de claquer sur mon dos et sur mes fesses. Dans la glace, devant moi, je voyais mon maître qui me couvait des yeux en me fouettant avec le gros fouet souple. Je pouvais voir sa moue arrogante de dompteur.

— Tortille du cul en écrasant ta langue sur ma botte...Ouais, comme ça, c'est bien... Ouais. Bon, tu peux aller chercher la bière maintenant.

Je retournai vers le couloir. J'allais passer la porte comme tout à l'heure quand je me souvins de l'ordre du maître. Je m'accroupis, je cambrai mon cul, mains sur les fesses, et découvris mon trou avec une torsion lascive de tout mon corps, la tête retournée vers mon maître en souriant. Il s'était assis à nouveau, ses jambes aux longues bottes allongées, le fouet toujours à la main. Il eut une moue satisfaite dans son bouc. Je me relevai. Au moment de passer la porte de la cuisine, j'eus une hésitation. Mon maître, qui devait me regarder toujours, m'avait dit de lui présenter le cul à chaque seuil. Mais le voulait-il aussi pour ce seuil-là? Je n'en étais pas sûr. Et puis peut-être que j'avais envie de le provoquer un peu. Je filai vers le frigo de l'arrière-cuisine sans m'arrêter.

Quand je revins avec la bière, mon maître était debout. Il avait à la main la laisse qu'il fixait parfois à mon collier.

— J'avais dit: à chaque seuil, Carpette! Je vois que t'as vraiment besoin d'une reprise en main. Mets-toi à quatre pattes. Tu vas avoir droit à une petite séance de dressage au grenier.

 

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Mardi 25 octobre 2 25 /10 /Oct 11:11

Raoul est un Akkar plutôt teigneux dont on ne se moque pas impunément et Elek ne va pas tarder à faire connaissance du grenier de Raoul. C'est là qu'il a dressé gobby, son premier raleb...

 

 

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Mardi 25 octobre 2 25 /10 /Oct 04:05


Souvent je pense à la teub de mon Maître. Sa belle teub charnue, enflée à la base, ferme et tendre à la fois, qui s'enfonce délicieusement dans mon cul ou dans ma gueule de chienne soumise. Je me souviens - il y a pas si longtemps - j'avais sucé goulûment Bruno pendant cinq bonnes minutes. J'avais bien bavé comme il aime. Ça faisait glou-glou quand il faisait des va-et-vient. Je pressais bien la langue, les lèvres, le palais contre la bonne teub qui m'emplissait la gueule. Mon Maître me tenait les oreilles et manoeuvrait ma tête de chienne comme il le voulait pour se satisfaire.

— Allez! Prends bien ma teub, karpette! Prends-la bien!

Oh oui! Je la prenais bien la teub de mon Maître! Et il me pilonnait la gueule. Et il enfonçait sa teub toujours plus. Et je sentais le gland fouailler ma gorge. Et la bave me montait avec des hauts de coeur. Mais je voulais toujours sucer plus, sucer mieux, bien montrer à mon Maître que je savourais sa belle teub, que j'étais une bonne chienne contente de me faire défoncer la gueule par la belle teub de son Maître. Et je sentais une envie de dégueuler du fond de ma gorge jusqu'au creux de mon ventre. Et c'était une envie que j'aimais parce qu'elle me faisait sentir combien j'étais la chienne de Bruno, de mon Maître.

Et tout d'un coup, ça y est. J'eus un spasme de toute la gorge. Je me dégageai juste à temps pour dégueuler par terre. Un peu de vomi avait quand même éclaboussé mon Maître.

— Salope! T'as dégueulé sur mon jean! Nettoie avec ta langue, salope!

Je pressai ma langue sur l'entre-cuisses de mon Maître. J'avalai les éclaboussures de vomi et je léchai. Mon Maître se branlait. Il me prit soudain par les cheveux et poussa ma tête vers le sol.

— Karpette! Tu vas lécher ton dégueulis par terre! Tu vas bien lécher!

J'osai faire non de la tête et je murmurai:

— Non! Pas ça...

Mon Maître parut ahuri.

— Qu'est-ce que tu dis, karpette? Tu refuses de lécher ton dégueulis aux bottes de ton Maître? Oh! putain! la branlée que tu vas te prendre!

Mon Maître se tenait les jambes écartées. La tige de ses hautes bottes noires lui montait presque aux genoux. Autour du cou, il avait un gros fouet tressé. Il saisit le manche, se recula un peu.

— Allez! Tête au sol, karpette!

Je posai la tête près de la flaque de dégueulis. Le fouet claqua, claqua encore: mon Maître me cinglait à toute volée.

— Allez! Lèche ton dégueulis par terre, chienne!

Je commençai à lécher sur le carreau la flaque de vomi. Le grand fouet de Bruno sifflait, claquait, me cinglait le dos, les fesses...

— Tortille du cul en léchant, chienne!

Bruno faisait claquer le fouet en parlant avec une voix jouisseuse. Je cambrai le cul au maximum, le lançai à gauche puis en arrière, le ramenai en cercle en tordant le bassin. Bruno me cinglait toujours à grands coups de fouet. Je le sentais excité et je bandais à fond, joyeux d'être si bien sa chienne. Je tortillais du cul encore plus fort.

— Ouais! C'est ça! Tu tords bien le cul, chienne! Mais colle bien ta gueule par terre et lèche!

Je léchais le vomi à pleine langue, je tordais le cul à grands coups de rein. J'essayais quand même de voir mon Maître aux grandes bottes qui faisait claquer le fouet au dessus de moi tel un dompteur superbe. Je fus comme ébloui en voyant la teub de Bruno qui pointait, bien droite, et qui semblait dire le plaisir de mon Master à me faire lécher mon dégueulis à ses bottes, à me faire gigoter du cul aussi bien qu'une chienne soumise. Mon excitation se redoublait. J'osai réclamer:

— S'il vous plaît, Maître, la teub! La teub, Maître! Laissez-moi sucer votre belle teub!

Mon Maître replia son fouet, bandant toujours. Il dit d'une voix goguenarde:

— Ouais, karpette. Tu vas avoir droit à la teub. Va chercher une gamelle de flotte d'abord et rince toi la gueule.

Je filai chercher la gamelle d'eau, me rinçai.

— Allez, fais la belle, karpette! Pattes de devant pliées! Allez!

À genoux, je pliai les pattes avant et les secouai comme une chienne qui réclame.

— Gueule bien ouverte! Ouais! Tire la langue! Tire la à fond!

Je faisais tout ce que disait mon Maître et je forçai sur ma langue pour qu'elle touche la base de mon menton. Mon Maître enfin engouffra sa teub dans ma gueule. Je la refermai, je collai mes lèvres sur le gros tuyau de chair. Je sucai avec volupté et force, en penchant la tête à gauche, à droite, en la montant, en la descendant, en bougeant du cul au même rythme. En bavant bien aussi. Et la bave me coulait de la gueule.

Mon Maître retira sa teub bien droite, commença à se branler d'une main, à faire claquer le fouet de l'autre. Il parla d'une voix sourde et jouisseuse.

— Ouais! Recommence à nettoyer le sol avec ta langue à mes bottes, chienne!

Je léchai. Je léchai ma bave et mon dégueulis, la croupe relevée, tordue et retordue devant mon Maître qui appréciait et qui faisait claquer le fouet en l'air avec une morgue souveraine.

— À la botte maintenant, salope! Lèche! remonte la tige! Appuie bien! Je veux sentir ta langue!

J'appuyais de toute la largeur de ma langue sur la longue et forte tige de cuir noir, je sentais le gonflement du mollet derrière.

— Allez! chuinte, salope! J'veux t'entendre lécher ma botte!

Je bavais, je chuintais, je soufflais de plaisir, me sentant de tout mon être une bonne chienne aux bottes de mon Maître.

— Ouais! Continue comme ça! C'est bon!

Le plaisir de mon Maître décuplait le mien. Je me mis à tordre le cul plus fort. Je sentis la main de mon Maître qui m'attrapait la nuque, dirigeait ma gueule vers la teub tendue. Elle était plus gonflée, plus longue, plus savoureuse que jamais. Elle plongeait au fond de ma gorge. Je râlais, hoquetais en ondulant de tout le corps pour accompagner ma suce de chienne. Et je sentais la teub de mon Maître s'enfoncer encore. Enfin il la retira, commanda:

— Gueule à terre, chienne! Ouvre ton cul!

J'appuyai ma gueule sur le carreau, remontai le cul, ouvrit mon trou, réclamai:

— Oh! votre teub, Maître! Votre belle teub, Maître! Enculez moi, Maître! Je suis votre chienne!

— Ta gueule! lèche le dégueulis! lèche bien! j'veux t'entendre le lécher!

Je léchai le sol bruyamment. Et je sentis la teub de mon Maître qui pointait, qui entrait, qui s'enfonçait, qui s'engouffrait dans mon cul de chienne gonflé de plaisir...

La teub de Bruno, j'en avais plein mon cul! Et j'y pensais tant que j'en avais aussi plein la tête!

 

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  • 173 cm 76 kg 58 ans. Je pense qu'en parcourant mon blog on voit suffisamment ce que bonclebs aime et recherche. ce que je n'aime pas apparaît peut-être ausssi ...dans l'absence. Je n'aime pas les rapports non protégés, le scat, le fist, le pierci

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