Samedi 22 octobre 6 22 /10 /Oct 14:56

Maïk a invité Maurice à dîner chez lui. Maurice a été tellement content du service de bouli qu'il a demandé à son hôte de le lui prêter. Il lui a dit qu'il essaierait de perfectionner le dressage  pour en faire à la fois une bonne pompe à plaisir et une vraie serpillère. Maïk a accepté volontiers. On voit là Maurice à l'oeuvre, aidé de Jon, un de ses copains de la salle de gym d'Akkarpolis.

 

 

 

Par bonclebs - Publié dans : dressage
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Samedi 22 octobre 6 22 /10 /Oct 06:51

Bruno, assis dans le fauteuil, avait croisé ses jambes bottées. Il avait le fouet à la main et jouait avec la grosse lanière. J’étais debout devant lui en débardeur et jean troué. J’avais le collier à chien autour du cou avec la laisse. Il me regardait avec une moue souriante.

— Carpette, fous-toi à poil!

J’ôtai mon débardeur en me tenant raide. Bruno écarta la main qui tenait le fouet, fit voler la lanière qui s’enroula autour de ma taille.

— J’vais t’apprendre à te déssaper comme une salope. Tu vas remettre ton débardeur et tu vas l’ôter en te déhanchant comme une vraie pute.

J’obéis, je fis un mouvement de hanche en ôtant le maillot mais le grand fouet revint me cingler.

— Tstt! Tstt! prends ton temps, fais la vraie pute!

Je me déhanchai en remontant le débardeur par petits coups. Bruno me regardait en se branlant avec une moue satisfaite. Je sentais ma queue raide en me déhanchant. Je sentais que je faisais plaisir à mon maître en faisant un strip de salope devant lui. Je balançai le débardeur, le jetai, dégrafai ma ceinture en me déhanchant de plus belle. Bruno faisait un "o" avec sa bouche, il fit voler nonchalamment le fouet.

— Carpette, tire la langue!

Je tirai la langue en ôtant le pantalon, en baissant le slip. Ma queue était debout et mon maître botté la regardait, goguenard, en se branlant.

— Ouais! maintenant tourne toi, fous ta gueule par terre!

J’obéis avec excitation.

— Présentation du cul. Remonte!

Le fouet claqua.

— Remonte mieux que ça! Bon, maintenant bouge du cul! Mieux que ça! Fais le tourner comme une bonne cochonne.

Je me forçai à faire de grands cercles avec mon cul en grognant comme une truie en chaleur. Je sentis une semelle qui s’appuyait sur ma raie. C’était bon, je gloussais de plaisir.

— Maintenant, je veux voir ton fion, carpette. Écarte ton trou de cochonne avec tes mains.

Je pressai mes fesses de tous mes doigts.

— Glousse!

Je gloussai comme une vraie truie en écartant toujours mon fion. Je me sentais vraiment la cochonne de mon maître. J’avais hâte de sentir sa grande bite. Je suppliai:

— Une saillie, maître! une saillie, s’il vous plaît, maître!

— T’es pas assez écartée. J’vais te dilater le fion avec le plug avant. J’vais t’apprendre à avoir le cul bien large pour ton master.

— Pas le plug gonflable. Pitié, maître!

— Salope, tu refuses le plug. Salope!

Bruno s’était levé et faisait claquet le fouet. Il me cinglait, la queue raide, content de m’entendre gémir. Je suppliai:

— Pitié, maître!

— Demande le plug!

Je finis par dire:

— Le plug, maître!

Bruno m’entra le plug et se mit à le gonfler. J’avais l’impression d’étouffer du cul et je sentais comme un compression exaspérante de plaisir. Je gémis.

— Du calme, cochonne, du calme! Encore un ptit coup pour bien ouvrir ton fion.

Je voyais dans la glace mon maître sourire dans son bouc à chaque pression qu’il donnait sur la poire. J’en pouvais plus et en même temps j’étais transporté de me sentir si bien sa lope. Enfin mon maître dégonfla le plug.

— Qu’est-ce qu’on dit, chienne?

— Merci, maître!

— Supplie pour la saillie!

— Une saillie, maître! Une saillie, maître! Votre bite, maître!

Je sentis enfin la queue de mon maître. Il me tirait par la laisse en m’enculant.

— Allez, bouge bien du cul!

Il me cingla de la cravache. Je fis des va-et-vient avec mon cul autour de sa queue.

— Mieux que ça!

Il me tirait par la laisse, il me cinglait de la cravache à toute volée. Il disait: «Ouais!» quand je me déhanchais à fond pour son plaisir. J’étais vraiment sa monture. Je gigotais sous la cravache avec sa queue en moi. Je lui appartenais jusqu’au fond du cul. Il était mon maître et seigneur. Un frisson me parcourait l’échine. Mon cul se dilatait au bord du spasme. Mon master me flattait, content de sa bête soumise.

— Ouais, carpette. Super. Tu te donnes bien là! Ouaiiis!

Je sentis Bruno jouir en moi alors qu’il m’avait empoigné les cheveux...

 
Par bonclebs - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
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Samedi 22 octobre 6 22 /10 /Oct 06:29

 

 

Par bonclebs - Publié dans : dressage
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Vendredi 21 octobre 5 21 /10 /Oct 05:51

La gamelle était à moitié pleine. Il la saisit par le bord, il m’empoigna par les cheveux. Je lui jetai un regard suppliant qui parut le réjouir davantage. Il me versa la pisse dans la gueule lentement et je bus la pisse de mon maître sans cesser de le regarder. Je sentais jusqu’aux tripes que j’étais vraiment sa larve.

Il se rebraguetta avec un sourire rentré, me tira par la laisse:

— Suis-moi à quatre pattes, chien.

Je marchai à quatre pattes, la gueule pas plus haut que les bottes de mon maître qui se retournait vers moi, l’air satisfait en me toisant. On sortit du grenier. Arrivé à l’escalier, je voulus me relever pour descendre les marches. J’étais debout à demi. Bruno m’expédia deux baffes sur toute la largeur des joues.

— J’t’ai dit de te relever, carpette? Tu vas m’descendre l’escalier bien comme il faut, comme une vraie chienne.

Je me remis à quatre pattes, tête baissée, pour descendre.

— Embrasse ma botte!

J’embrassai la botte de mon maître. Comme on arrivait à la cuisine, mon master me réclama une bière puis il me dit:

— Je veux que tu t’débrouilles pour lécher mes bottes en marchant.

En avançant sur les mains et les genoux, je tâchais de coller ma langue sur la tige des bottes. On fit un tour, mon maître s’amusait beaucoup à me voir essayer de coller ma langue à ses bottes. Il me poussa dans les toilettes, détacha ma laisse.

— Trouve-moi un entonnoir et rapporte le dans ta gueule.

Je revins à quatre pattes avec un entonnoir dans la gueule.

— Colle ta gueule par terre: tu vas être ma pissotière.

Bruno commença à me pisser dans le cul, j’étais vraiment sa pissotière. Puis il m’arrosa les fesses. Enfin il me prit la tête par les cheveux et l’approcha de sa bite.

— Ouvre bien ta gueule de pissotière, chienne!

Mon maître finit de me pisser dans la gueule. Je le regardai avec un vrai regard de chienne soumise en bandant très fort.

— C’est bien! Maintenant nettoie la pisse de ton maître comme un valet.

Je poussai la serpillère dans la flaque de pisse, recroquevillé, prosterné. Derrière moi, mon maître faisait claquer le fouet.

— Touche plus à la serpillère maintenant!

Il restait de la pisse encore. Je ne comprenais pas. Je regardai mon maître qui maniait le fouet toujours.

— Continue de nettoyer avec la langue!

C’était trop. Je fis non de la tête. Bruno parut ébahi.

— Salope! Putain de chienne! Tu refuses d’obéir à ton master! Salope, tu vas déguster!

Mon maître prit de l’élan. Il me cingla le dos, la croupe à me faire gémir. Je suppliai:

— Pitié! Arrêtez maître!

— Lape la pisse!

J’étais complètement dompté. Je lapai la pisse par terre. Le fouet cinglait toujours.

— Remue ton cul de cochonne en même temps, salope!

Je remuai mon cul en lapant la pisse. Mon maître se dandinait sur ses bottes en souriant, il bandait dur. Moi aussi. Il cracha par terre.

— Tu vas ramasser le mollard de ton maître avec la langue!

Le fouet claqua. Je collai ma langue au mollard aussitôt.

— Regarde-moi. Je veux voir que t’as bien le mollard sur la langue... Ouais, super! Fais le toutou!

Je fis le toutou en regardant mon maître, pattes de devant pliées, le mollard de mon maître sur ma langue tendue. Je voyais que mon maître était content et j’étais fou d’excitation.

— OK, va te rincer la gueule et reviens tout de suite.

Ma gueule rincée, mon maître y enfourna sa grande bite.

— Fais le toutou encore. Remue ton cul. Allez montre que t’es une vraie chienne en chaleur à la bite de ton maître.

Je faisais tout ce que mon maître me disait en continuant de le sucer à fond. J’en pouvais plus tellement je me sentais sa chienne. Je sentis son jus dans ma bouche soudain. Je me branlai et je jouis presque aussitôt sur ses bottes. Il m’ordonna de me coucher par terre pour lécher le sperme sur le pied de sa botte. Je léchai à plat ventre le foutre sur la botte de mon maître en tâchant d’apercevoir son sourire.

 

                                                                               FIN

 

 
Par bonclebs - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
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Vendredi 21 octobre 5 21 /10 /Oct 05:47

 

 

Par bonclebs - Publié dans : dressage
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