Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 08:53

                             moment 3

Je marchai sur les mains et les genoux vers les bottes de mon maître, les deux gants dans la gueule. Éric les prit, me tapota la joue avec.

— C’est bien, Jacob. Tu commences à être un bon chien. Embrasse mes bottes.

J’embrassai les bottes sur l’empeigne, avec volupté.

— Redresse-toi. Fais le beau.

Je me redressai, pliai les pattes de devant par instinct, tirai la langue.

Éric me caressa la nuque avec une moue goguenarde.

— Mmmmm! On sent que t’as ça dans le sang. Je suis assez content de toi. Je crois que tu vas pouvoir me faire plaisir. Couche toi à mes pieds.

Je me couchai aux bottes d’Éric qui se leva. Une veste de cuir était posée sur un bras du fauteuil. Il l’endossa, boucla un ceinturon par dessus, mit les gants noirs, reprit son fouet.

— Tu vas tourner encore autour de moi. C’était pas trop mal tout à l’heure mais je veux que tu m’excites plus, que tu fasses le chien salope. J’ai envie plus que d’un chien, Jacob. J’ai envie d’une chienne à mes bottes. Tu vas être ma chienne, hein?

La voix d’Éric s’était faite plus sourde, plus grasse aussi. Je répondis, éperdu:

— Oui, seigneur Éric. Je vais être votre chienne!

— C’est bien. Remets-toi sur tes pattes et cours autour de ton seigneur, chienne!

En disant cela, Éric avait fait claquer le bullwhip encore plus fort que tout à l’heure. Je m’élançai. La lanière me cingla les fesses.

— Remonte la croupe, salope!

Je tâchai d’obéir. Ce n’était pas assez. Le fouet cinglait.

— Remue tes fesses.

La pièce résonnait de claquements. Plusieurs coups m’atteignaient. Je geignais en continuant de tourner à quatre pattes, en essayant de me déhancher. eric-4.jpg

— Tortille du cul!

Je réussis à faire un cercle avec mon cul.

— Ouaiiis! Encore!

Je ne sentais plus les coups. Une frénésie me prenait. Je tortillais du cul de toutes mes forces, haletant.

— Aboie comme une chienne en chaleur! Aboie, salope!

Je lançai des aboiements aigus de femelle entre les gémissements que m’arrachait le fouet. Éric grondait en faisant claquer la lanière. Sa jubilation me bouleversait de plaisir. Je sentais à peine les coups. Je sentais seulement que j’étais la chienne d’un jeune seigneur en bottes, rutilant de cuir qui s’éclatait à me dresser au fouet. Soudain Éric ordonna:

— Aux pieds, chienne! Lèche moi les bottes!

Je vins m’écrouler aux bottes d’Éric, saisi par l’épuisement. Ce fut pour moi un repos d’étendre ma langue sur l’empeigne lisse, de la faire glisser. Je n’avais pas léché les bottes d’Éric encore. Je voulais savourer doucement mon plaisir mais je me sentis brusquement tiré par l’oreille. Éric me relevait la tête durement.

— Chienne, c’est comme ça que tu oses me lécher les bottes! Je vais t’apprendre comment une chienne doit lécher les bottes de son maître. Je vais te l’apprendre! Reste à genoux, mains derrière le dos et attends moi.

Par akkariaplanetehomosm - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 08:33

                                                                                                                           Moment 2   

     

Il avait fait claquer son fouet avant de dire «chien». Je me jetai à quatre pattes aussitôt. Ça y est, j’allais être le chien d’Éric, du seigneur Éric. J’en avais le ventre creusé. Éric marcha vers une petite table où il posa son fouet. Il y avait sur la table des gants blancs à manchon. Il les mit à la place des noirs. Il reprit son fouet.

— Tu vas avancer à quatre pattes à travers le salon.

Il avait dit cela la tête penchée vers le sol, en regardant son fouet qu’il s’apprêtait à faire claquer. Je n’avais pas fait un mètre que la lanière me mordit le dos. Je criai. Je tournai les yeux vers Éric. Il était de profil, la tête à nouveau penchée vers son fouet. Il ne me regardait pas. Il parla calmement, sans forcer la voix: eric-3.jpg

— Un chien n’avance pas comme une limace, Jacob. Un chien, ça court. Je vais t’apprendre à courir autour de ton maître.

Il se redressa, replia le fouet, gagna lentement le centre de la pièce, délova la lanière à nouveau, la fit voler jusqu’au plafond et se mit à la faire claquer comme un dompteur.

— Allez, mon chien. Cours autour de ton maître!

Je forçais sur les genoux et les mains, soufflais, mais ma queue était dressée. En courant à quatre pattes, je ne quittais pas mon maître des yeux, les tiges de ses bottes, les gonflements des breeches. Le déhanchement superbe qu’il avait pour faire ondoyer le serpent noir me déchirait le ventre à me faire oublier les morsures quand je faiblissais. Au troisième tour, Éric cessa de me cingler. Il se contenta de faire claquer majestueusement le fouet avec une morgue satisfaite.

— Bien, le chien.  Couché maintenant.

Éric alla s’asseoir dans le fauteuil club, ôta un de ses gants blancs, me le jeta.

— Prends le gant délicatement avec ta gueule et va le déposer sur la table.

J’obéis, je pris le gant entre les dents sans le mordre, je marchai à quatre pattes jusqu’à la table, y posai le menton pour lâcher le gant, me retournai vers mon maître avec le contentement d’un chien qui a bien obéi. Mon maître me jeta l’autre gant et je fis de même.

— Apporte les gants noirs, le chien. Apporte!


 
Par akkariaplanetehomosm - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 08:20

Jacob était le premier esclave du seigneur Eric. Une conformité de caractère, le partage des mêmes chaînes et l'amour pour le même maître avaient développé entre nous une amitié où aucune jalousie ne mettait d'ombre. Nous étions devenus des complices et Jacob fut mon premier confident sur ma nouvelle planète. Il avait connu Eric sur la Lupa avant le Premier Voyage où celui qui était désormais son maître l'avait emmené. C'est avec l'émoi qui nous prend quand on revit complètement les choses qu'il m'avait raconté ce qu'il appelait :"SON PREMIER SOIR DE CHIEN"

 

                                   Moment 1

 

Éric m’avait dit d’attendre dans la grande salle boisée. Je frémis quand il ouvrit la porte. Il avait enfilé un uniforme de policier allemand avec bottes et breeches.Eric 1 Chemise bleue, cravate de cuir. Casquette. Mais le plus terrible, c’est ce qu’il serrait dans sa main gantée: les boucles d’un long fouet de cuir. Je voyais tout juste la lumière gris bleu de son regard sous la visière noire de la casquette, mais sa bouche serrée, son menton un rien relevé exprimaient à la fois la détermination et l’arrogance:

— Enlève ton froc.

J’étais debout en face de lui, torse nu avec le pantalon de cuir qu’il m’avait prêté le matin. J’eus l’irrépressible envie de lui tenir tête. Je ne bougeai pas. J’esquissai même un sourire. Aussitôt il déploya le fouet, recula une jambe, prit de l’élan. La lanière vola en sifflant, vint s’enrouler, cinglante autour de mon torse. Alors je me déculottai devant lui. Il avait un peu relevé le front et je sentais son regard à plein. Je voyais le bas de sa bouche se gonfler, goguenard.

— À quatre pattes, chien!

Par akkariaplanetehomosm - Publié dans : dogtraining dresse-clébard
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 23 août 2 23 /08 /Août 17:47

Tous les ralebs à vendre n'étaient pas encagés ou enchaînés. Certains étaient laissés en semi-liberté dans de grands parcs ralebologiques. Beaucoup d'Akkars en effet aimaient le plaisir de la chasse et de la capture. Attraper le raleb, le forcer à lécher leurs bottes,  le sentir devenir une larve entre leurs mains, le voir se trémousser de plaisir la langue bavante collée à leur semelle, c'était souvent pour eux le début d'une très longue histoire et ils quittaient le parc un raleb au bout de la laisse...

 

 

 

 

Par akkariaplanetehomosm - Publié dans : léchage de bottes
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 23 août 2 23 /08 /Août 14:15

 

Il existe sur Akkar un marché aux esclaves. Seulement il s'agit plus d'un lieu d'exposition. Les ventes ne s'y font pas. Les Akkars en recherche d'un raleb y viennent pour repérer celui qui pourrait leur convenir. Ils reviennent ensuite le voir pour l'essayer dans les centres d'entraînement ou les camps de dressage. Toujours sous le contrôle d'un maître dresseur. Celui-ci peut aider l'Akkar à la pratique du dressage mais aussi juger des incompatibilités. Si bien que, par miracle, les ralebs sont toujours vendus aux bons Akkars. Qu'on s'étonne après si, sur Akkaria, l'amour qui unit le raleb et son maître Akkar atteint à la force de l'amitié sublime qui unit les Akkars entre eux.

 

à vendre

Par akkariaplanetehomosm - Publié dans : gay hard
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

http://4.bp.blogspot.com/-HuGaxjH28qs/UFDzIyLFJdI/AAAAAAAAGfs/RKPAsxjQz2c/s320/tasteitrubit%C2%A0%C2%A0+TrevorJizz.gif

Profil

  • bonclebs
  • Le blog de Akkaria, , planète des hommes SM
  • sm bottes dogtraining humiliation larvage léchage
  • 173 cm 76 kg 58 ans. Je pense qu'en parcourant mon blog on voit suffisamment ce que bonclebs aime et recherche. ce que je n'aime pas apparaît peut-être ausssi ...dans l'absence. Je n'aime pas les rapports non protégés, le scat, le fist, le pierci

Présentation

  • : Le blog de Akkaria, , planète des hommes SM
  • Le blog de Akkaria, , planète des hommes SM
  • : gay Gay
  • : Akkaria, une planète peuplée d'hommes soumis ou dominateurs, des maîtres et des esclaves.beaucoup de vidéos de dogtraining, de maîtres humiliant leurs esclaves, des photos, des journaux intimes d'esclaves
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Recherche

le blog de mon maitre

blog de masteradogg

mes visiteurs

gay

Tchat ZoneBeur.com

Découvre ZoneBeur.com le nouveau tchat gay gratuit pour rencontrer des blanc, Blancs, Beur  et c'est gratuit !!

 

http://gueuleajus.com/images/baniere160par600.gif

Texte Libre

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés