Éric sortit. Quand il revint, il avait une main derrière le dos.
— Tire la langue.
Je tirai la langue, vaguement inquiet. Je la rentrai aussitôt par réflexe quand je vis la pince de métal ouverte.
— Ressors ta langue ou je te fais danser toute la nuit avec mon fouet.
La pince m’écrasa la langue dans une douleur vibrante, supportable malgré tout. La pince était reliée à un fine chaîne. Éric la tira.
— Avance sur les genoux.
J’avançais sur les genoux. Éric reculait en tirant toujours sur la chaîne. Il me couvait littéralement des yeux et je voyais sa braguette plus gonflée qu'avant. La gueule de larve que je devais
avoir, tenu en laisse par la langue, avait accru son excitation. La mienne se voyait à ma queue dressée au plus haut. Éric attacha le bout de la chaîne à un pied de la table. La chaîne était
tendue. Il m’ordonna de ne plus bouger, de rester le buste bien droit et la langue bien tirée en avant. Il recula vers la porte. Sa main droite dressait le manche du fouet en avant, l’autre retenait la mèche en arrière.
— Tu vas me demander pardon de n’avoir pas léché mes bottes comme une bonne chienne.
Je lançai dans un souffle:
— Padon d’avoi pas lécer vos bo co u bo cienne, seineu Éri!
Éric libéra la lanière, pivota du buste en écartant largement le bras. Le filin de cuir s’envola, vint s’enrouler rudement autour de mon torse. J’eus un gémissement de bête, la langue toujours
tirée.
— Je ne comprends rien, chienne. Ar-ti-cule!
— Pardon de vous avoir pas léché les bottes comme une bonne chienne, seigneur Éric!
La lanière s’était retirée en glissant sur ma peau. Elle revint encore plus cinglante.
— Plus fort, chienne!
— PARDON DE VOUS AVOIR PAS LECHE LES BOTTES COMME UNE BONNE CHIENNE, SEIGNEUR ÉRIC!
La voix de mon maître eut une douceur narquoise:
— C’est beaucoup mieux, ça. Beaucoup mieux!
Il s’était rapproché de moi, m’avait libéré la langue. Il appuya sa main gantée sur ma nuque, approcha ma tête du pied de sa botte.
— Maintenant tu vas bien me montrer comment une bonne chienne lèche la botte de son maître. Hein! Tu vas bien me le montrer?
J’appuyai ma langue sur le pied de la botte. Le fouet claqua en l’air:
— Plus fort, je sens pas ta langue!
J’appuyai, j’enfonçai ma langue comme pour creuser un sillon dans la gangue de cuir lisse, je la fis glisser jusqu’au talon, je revins à l’arrondi du bout.
— Oui, c’est mieux ça, petite larve! Mais je veux t’entendre baver.
Je bavais en chuintant,en soufflant, la langue écrasée sur le pied de la botte de mon maître. Je remontai vers la tige, j’essayais d’apercevoir là haut sous la visière de la casquette le regard
qui me tombait sur la nuque. Je n’en pouvais plus de bander.
— Glousse, ma chienne! Glousse!
Je gloussai de plaisir, je léchai à fond. Je bavais, je chuintais. Le fouet claqua à nouveau. La voix de mon maître se fit rapeuse:
— Tortille du cul, ma chienne!
Je me déhanchai, remuai le cul en tous sens, toujours léchant, bavant, chuintant, gloussant. La lanière me cingla le creux du dos.
— Tortille mieux du cul, salope! Excite moi avec ton cul de chienne!
Je fis la ronde avec mon cul, me vautrant, me tordant, me détordant. Mon maître grognait de plaisir mais faisait claquer le fouet encore: je ne gloussais pas assez fort, je ne léchais pas assez
fort. Enfin il parut vraiment content:
— Ouais, c’est bien. Ouais! Demain je vais pouvoir montrer une bonne chienne à mon ami Lothar. Faudra être comme ça devant lui... Ouvre ton cul quand tu le tortilles. Ouvre le bien! Mmmm! je sens
que je vais m’occuper demain de ton cul avec ma matraque quand Lothar t’aura larvé à son tour avec son fouet.
Ce que l'on voit à Berlin en septembre chaque année à la Folsom, on le voit tous les
mercredis à Akkarpolis car c'est le jour du marché. Les seigneurs akkars parcourent les rues, harnachés de cuir ou de latex et dans toutes sortes d'imposantes tenues. Ils y exhibent leurs ralebs
souvent transformés en chien. Ils aiment bien montrer à leurs frères akkars le résultat de leur dressage. Beaucoup profitent de ce moment pour donner à leur clebs une punition publique...
Les premiers Akkars avaient l'instinct des chasseurs qui savent repérer leurs bonnes proies.
Cela s'était transmis et, lors de leurs expéditions sur la Lupa comme lors de celle sur la Terre, ils n'enlevaient pas les garçons au hasard. Ils connaissaient déjà autour des villes des lieux où
se faisaient des concentrations intéressantes. Et le gibier qu'ils rapportaient de leurs expéditions avait toute chance de s'acclimater sur Akkaria.
Je dirai plus tard à la suite de quelles épreuves ou de quels jeux les Akkars pouvaient faire
se révéler à eux-mêmes, s'ils l'ignoraient encore, ceux qui avaient une âme de raleb. Les mêmes jeux donnaient à plusieurs de leurs captifs -parfois de façon tout à fait inattendue pour eux comme
pour leurs compagnons de prise- le goût d'être Akkar. Mais si les Akkars trouvaient dans leur butin des frères ou des esclaves, ils en voyaient d'autres qui vivaient très mal leur rapt et leur
déportation, qui ne trouvaient que barbarie dans l'ordre d'Akkaria et qui n'aspiraient qu'au retour.
Ceux-là qui avaient dû participer malgré tout aux jeux d'initiation étaient ensuite conduits
dans une île de la mer d'Opale, la grande mer d'Akkaria. Ils y étaient traités comme des hôtes choyés avant d'être ramenés sur la Lupa à la prochaine expédition. Les Akkars avaient soin
auparavant de leur faire prendre des potions qui troublaient leur mémoire. Si bien que, revenus sur la Lupa, ils gardaient de leur aventure un souvenir suffisamment vague et suffisamment enchanté
par la fin de leur séjour pour avoir finalement l'impression d'avoir vécu un rêve.
Mais pour ceux qui comme moi avaient révélé leur âme de raleb, il n'y avait plus
d'échappatoire. Mon sort était d'être vendu comme esclave et je le fus.
J'ai dit que la vente n'était pas qu'une formalité et qu'on n'était pas vendu à quiconque
inconsidérément. Cependant, même avec des préliminaires concluants, il arrivait qu'on ne pût s'attacher à notre maître, qu'on tombât sur un maître réellement trop tyrannique ou -ce qui peut
paraître incroyable mais qui fut mon cas pour la première vente- vraiment trop doux.
Je pris mes aises avec mon maître, je cédais à mon esprit mutin et lutin. Mais au lieu de me
punir lui-même comme je l'espérais, mon maître décida de me faire envoyer aux travaux forcés.
Les travaux forcés s'effectuaient aux carrières, dans ce qu'on appelait entre nous : "le camp
des Akkars"
La tarte aux abricots 1/4
Au camp des Akkars, on travaillait dix heures par jour sous la surveillance de gardiens bottés qui
maniaient d’énormes fouets. Enfin dix heures par jour, c’était la théorie. En fait, on pouvait se la couler douce. Seulement fallait pas se faire prendre.
Je l’ai appris avec Fred qui était un jeune mignon à crâne rasé. Il avait un sourire craquant et ses
longues bottes étaient galbées à me faire dresser la queue. On était quatre à travailler à la carrière et il n’y avait que Fred à nous surveiller. Les trois autres piochaient ensemble. Moi je
devais trier un tas de pierres plus loin.
Fred tapotait une de ses longues bottes de son gros fouet lové en matant les piocheurs qui avaient l’air
de bosser bien. Moi je m’étais allongé sur l’herbe et je le regardais en souriant. Il tourna la tête et m’aperçut. Il me fit un petit sourire adorable puis regarda les piocheurs à nouveau. Je
fermai les yeux dans le soleil.
Quand je les rouvris, je ne voyais plus Fred. Mes compagnons s’étaient arrêtés de piocher et regardaient
dans ma direction. Ils se remirent au travail soudain comme s’ils avaient vu derrière moi quelqu’un les surveiller à nouveau. J’eus une vague inquiétude. Je me tournai sur le côté, regardai en
arrière: Fred arrivait près de moi tranquillement. Il souriait, menton gonflé, avec de la malice tendre dans ses yeux. De quoi j’avais eu peur? Il était vraiment adorable. Il n’avait pas son
fouet à la main, il l’avait attaché à son ceinturon sur le côté. Et les grandes boucles pendouillaient, inoffensives, molles. À deux mains, il portait une gamelle d’alu à couvercle. J’eus quand
même un petit frisson: après tout je ne le connaissais pas encore. Il était peut-être féroce comme les autres avec son air mignon. Seulement plus sournois. Il allait peut-être me forcer à manger
quelque chose d’infâme.
— Alors, il est fatigué mon canard? Il prend le soleil. Je te regardais de là-bas: t’es vraiment chou,
tu sais. Tiens, regarde la petite gâterie que je t’ai apportée.
Il y avait une tarte aux abricots dans la gamelle. Depuis que j’étais au camp des Akkars, j’avais jamais
eu droit à un gâteau encore. Je pris la tarte. Au moment de la croquer, j’eus un soupçon. Et si le trop souriant Fred y avait mis dedans quelque chose d’horrible au goût? Fred me caressait le
front.
— Tu hésites? T’as pas confiance? C’est mon dessert que tu vas manger, mon petit canard. Je te trouve
très chou et j’ai envie d’être très gentil avec toi.
Fred était accroupi. Les tiges de ses bottes, un peu gondolées, effleuraient ses genoux. Il penchait la
tête en mangeant son sourire et en me frictionnant le front tendrement. Je mangeai la tarte goulûment en le contemplant avec un frisson de joie. Je finissais à peine qu’il déboutonnait sa
braguette d’une main, passait l’autre avec tendresse sur ma joue.
— Tu veux bien me faire une petite gâterie à ton tour, mon petit canard? Hein, tu veux bien?
Oh, oui! je voulais bien! La belle bite de Fred surgissait, gonflée et rose. J’avalai le gland,
commençai la succion voluptueusement. Il mit les deux mains derrière mon crâne, appuya. Je laissai le gros sucre d’orge s’enfoncer un peu plus entre mes lèvres.
Piotr était un des plus subjuguants garde d'élite d'Akkaria. Il avait une façon de soumettre ses ralebs à sa botte qui leur écrasait l'âme. Ces quelques images le font comprendre.
173 cm 76 kg 58 ans. Je pense qu'en parcourant mon blog on voit suffisamment ce que bonclebs aime et recherche. ce que je n'aime pas apparaît peut-être ausssi ...dans l'absence. Je n'aime pas les rapports non protégés, le scat, le fist, le pierci
:
Akkaria, une planète peuplée d'hommes soumis ou dominateurs, des maîtres et des esclaves.beaucoup de vidéos de dogtraining, de maîtres humiliant leurs esclaves, des photos, des journaux intimes d'esclaves
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