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Blogue de  pite-Boule 1

Bonjour, moi c'est pite-boule. J'suis pas méchant. Non. C'est mon maître, il m'a appelé comme ça. Parce que c'qu'il dit mon maître, je le fais à fond. Comme un pittbull. Quand il m'dit d'aboyer, j'aboie. J'aboie dur. Jusqu'à plus de gorge. Et quand il m'dit de serrer le bâton dans ma gueule, je serre. Oh oui j'serre bien. Et mon maître, il peut pas le prendre. Alors il me dit : ouvre ta gueule pite-boule et vite ! alors tout de suite j'ouvre ma gueule. Et des fois, j'ai envie de grogner seulement pour que mon maître il sente que je l'aime. Ca veut dire ça mes grognements, comme les coups de tête que je donne à mon maître. Il est trop mon maître ! il est trop ! rien que quand je vois sa bouche, la façon dont il met les lèvres, j'ai plus rien dans les tripes, j'ai plus rien que lui : mon maître ! J'sens bien que toute cette bidoche en moi, cette bonne tête, ce torse, ces bras et ces cuisses musclées, ce cul rebondi, ces couilles, cette longue bite, tout ça n'existe vraiment que quand je me mets à quatre pattes comme un vrai chien, que je tiens les pattes de devant toutes droites avec mes poings fermés dans les moufles sans doigts, les pattes de derrière pliées les pieds dans des rangeos qui sont des bottes spéciales pour chien, le plug dans mon trou et la queue de chien que je peux secouer et faire tourniquer, le cul bien cambré comme mon maître m'a appris à le faire. Mon maître Greg. Mon super canon de maître Greg. Mon maître que je bouffe ces mollards. Ah ! je peux pas dire ! Ah c'est trop quand j'vois les lèvres de mon maître prêtes à mollarder et qu'il me regarde. Je sens qu'il attend que je me jette sur le mollard, que je l'avale. Et je trique ! je trique ! Plus encore que quand je lèche les bottes de mon maître ! et pourtantt si je trique quand j'lèche ses bottes ! Et quand je vois le sourire de son oeil en train de me regarder lécher la semelle  de ses bottes !....